Viewing entries in
On se dit tout

Le stress de réussir... ses vacances?!

Le stress de réussir... ses vacances?!

Moi, je suis du genre efficace dans la vie. La réussite, c’est important. I get things done! Bon. Donc mes vacances, il faut que je les réussisse aussi! C’est comme ça.

La réunionnite

Comment

La réunionnite

J'ai toujours été émerveillée par les gens impliqués. Ceux qui font parti de conseils d'administration, de tables de concertation, de comités et sous-comités.

Comment

100 % de quoi?

Comment

100 % de quoi?

C’est la fin de l’année scolaire, on embarque en mode évaluation! Même dans le monde du travail, c’est l’heure des bilans pour plusieurs… avant des vacances bien méritées.

Comment

Te sens-tu belle, toi?

Comment

Te sens-tu belle, toi?

Y’a des moments dans ma vie de femme où je me suis sentie forte, confiante, fière et donc : belle! Et depuis ce temps on dirait que je suis toujours à la recherche de ce fameux feeling.

Comment

LE COURAGE DE S'OUVRIR

Comment

LE COURAGE DE S'OUVRIR

J’aimerais clore ce mois avec un constat que j’ai fait moi-même dans la vie. Un constat qui a été fortement nourri de mon expérience de vie, mais aussi de Femmes Alpha. À force de lire des gens qui ont le courage de se livrer, de quitter la surface pour aller dans le deep, le vrai deep, je réalise que le courage est un processus d’ouverture sur soi, qui, une fois entamé, est irréversible.

Comment

Fie-toi sur toi!

Comment

Fie-toi sur toi!

Je me fie sur mon GPS pour me rendre à bon port, sur ma calculatrice pour les équations mêmes les plus simples, sur mon cell pour me rappeler des noms et coordonnées de mes contacts, sur Facebook pour me rappeler les fêtes de mes amis, à mon comptable pour mes chiffres et à ma coiffeuse pour décider de mon look… Suis-je la seule? Non.

Comment

Courageuse, moi?

Comment

Courageuse, moi?

Jusqu’ici, le courage était une notion pour laquelle j’avais peu d’estime. Combien de fois ai-je soupiré et roulé les yeux intérieurement quand on me qualifiait de courageuse?

Comment

Je suis gentille... C'est grave docteur?

Comment

Je suis gentille... C'est grave docteur?

Je me suis réveillée ce matin et quel choc! Quelle prise de conscience! Je suis de plus en plus persuadée que je suis gentille et naïve… Je ne sais pas si c’est grave ni combien de temps je vais pouvoir survivre dans ce monde. Non, vous n’avez pas compris, JE SUIS GENTILLE… C’est atroce… C’est horrible… C’est une très grave maladie dont on ne peut pas guérir. Les symptômes sont incroyables, c’est plus fort que moi! Même après plusieurs années de thérapie et plusieurs grosses erreurs ou claque dans la « gueule » (ça fait tellement mal que je n’ai pas d’autre mot dans mon vocabulaire pour décrire l’intensité et la douleur). Ce doit être génétique et dans mon cas, ça s’aggrave avec l’expérience. Je ne contrôle rien. 

Je me pose les questions suivantes : suis-je dépendante à la gentillesse (puisqu’on peut être dépendant à tout selon les psychologues)? Ai-je les connexions nerveuses de l’affirmation de soi et de l’égoïsme complètement bouchées dans mon cerveau? 

C’est fou! Mais je veux aider les autres afin de leur donner de l’amour, ou peut-être bien me donner de l’amour… Va savoir... Peut-être les deux. Je ne peux passer dans le métro sans donner à des sans-abri quelques pièces de monnaie, avoir un sentiment de gêne et me demander ce qu’on peut faire dans le monde pour changer cela. Je les regarde dans les yeux et je leur dis bonjour ou au moins, je leur fais un signe de tête pour leur signifier que je les vois. 

Je suis touchée quand des musiciens jouent dans le métro et je pense qu’ils devraient être payés pour la légèreté qu’ils apportent au quotidien des gens tristes qui s’en vont travailler. Dès que quelqu’un me parle d’un projet, je me mets en mode solutions et je scrute mon cerveau à la recherche d’aide que je peux apporter, une personne que je peux recommander, des heures que je peux offrir. Par exemple, des amies ont réalisé un projet de refuges, alors je les soutiens en leur faisant de la pub sur mon compte Facebook; des immigrants me sont référés pour une recherche d’emploi, je leur ouvre mon carnet d’adresses et leur propose des rencontres et des coordonnées; une connaissance souhaite effectuer un échange de maison pour le mois de juillet, immédiatement j’envoie sa demande à ma famille habitant dans la ville où elle souhaite partir. J’accepte de garder les enfants de mes amis quand ils ne peuvent pas; je propose à mes voisins de déneiger leur entrée (je le fais même parfois sans leur demander leur avis); je range les poubelles de mes voisins. J’échange quelques mots avec pratiquement tout mon voisinage… 

J’ai une âme de rassembleuse, je suis née pour faire les liens sociaux: j’organise la fête des voisins, je me propose comme bénévole quand il y a des animations dans mon quartier (je passe une journée entière à trier des œufs pour une chasse aux cocos), je m’investis dans l’école de mon fils, car je trouve cela important que les parents s’impliquent dans l’éducation des enfants. Bref, je ne sais pas dire non, je trouve des opportunités dans tout… C’est plus grave que je ne le pensais finalement! Couplé à ma gentillesse, je suis curieuse… et là, c’est l’alliance sournoise pour me faire embarquer dans toutes sortes de projets.

Je suis une gentille démesurée. J’en suis consciente, c’est ça le pire, je ne peux pas changer… et vous savez quoi, je l’assume. J’aime être gentille et je pense de plus en plus que c’est une force. Comme il existe des coaches pour l’affirmation de soi et pour apprendre à dire non, je propose de partager mon expertise de la gentillesse afin de faire découvrir cette qualité en chacun de vous et ainsi accéder à son pouvoir. Qui embarque avec moi?

 

Révision: Josée Goupil

Comment

SAVOIR – SAVOIR-FAIRE – SAVOIR-ÊTRE… DES INSÉPARABLES ?

Comment

SAVOIR – SAVOIR-FAIRE – SAVOIR-ÊTRE… DES INSÉPARABLES ?

Je sais que j’ai su que je savais mais si j’avais su, je sais que j’eus su bien avant.  Je saurai que j’aurai su et que je sache bien que j’aie su.  Que je susse dire ou que j’eusse su qu’on me permettait de dire, je saurais que j’aurais su comment faire, juste que j’eusse su.  Sache bien que j’aie su être sachant que savoir en sachant savoir-faire en ayant su comment atteindre le savoir-être.

Comment

J'ai pas le temps... Ah oui?

Comment

J'ai pas le temps... Ah oui?

La plus grande calamité de notre époque est sans contredit le manque de temps. 

C’est presque trendy d’en manquer. 

D’être coincé, d’être pressé, d’être stressé. 

Combien de fois on entend les : 
Ça-va-bien-mais-ça-va-vite. Je-suis-dans-le-jus. J’ai-couru-toute-la-semaine. J’ai-une-vie-de-fou. 

Comment

DÉPOSEZ CETTE ENVAHISSANTE IDÉE !

Comment

DÉPOSEZ CETTE ENVAHISSANTE IDÉE !

Avoir une IDÉE c’est bien, avoir quelques IDÉES c’est encore mieux, mais avoir un trop-plein d’IDÉES, ce peut être risqué.

Cogiter sur une grande IDÉE entraîne une multitude de moyennes et petites IDÉES qui, avec le temps, se greffent les unes aux autres et provoquent de nécessaires actions qui exigeront des heures, des heures et des heures de travail.  Mais tu les feras quand ces heures?  Malgré la technologie qui évolue, il me semble que ce qui n’a jamais changé et ne changera jamais jusqu’à la fin des Temps est qu’une journée ne contient que 1 440 minutes.

Un rêveur ne voit pas le temps passer, un rêveur croît qu’il aura toujours le temps, un rêveur vit parfois à côté de ses souliers. Pourquoi? Parce qu’il est en mode création et que tout son monde n’est fait que de désirs de faire le meilleur, le plus utile, le plus réconfortant, le plus WOW des concepts afin de rendre la vie des autres plus facile.  Et arrive le temps de la réalisation qui va lui prendre tellement, mais tellement plus de son temps!  Une grande IDÉE, c’est comme une pieuvre qui étend ses tentacules ici et là pour essayer d’attraper tout ce dont elle a besoin pour arriver à ses fins.  Une grande IDÉE, c’est la méduse reconnue comme étant une mangeuse d’humain.  Le rêveur se consacrera jour et nuit à cette grande réalisation. Il est convaincu qu’il a trouvé l’IDÉE DU SIÈCLE pour se réaliser.

Parfois, la petite IDÉE est l’IDÉE qui vient du plus profond de l’être, une IDÉE, CELLE-LÀ qui est sacrée, l’IDÉE qui conduira à la réalisation de soi et il n’y a pas de plus grand bonheur que de réaliser qui l’on est et que c’est là tout le sens de la vie. Toute la différence tient à l’IDÉE, la vraie, la juste, L’IDÉE, et il y a l’IDÉE, les IDÉES qui viennent de la voix bavasseuse, alors là, c’est d’autre chose dont il s’agit. 

Un beau jour, après avoir passé des mois à courir, porter, se nourrir, dormir, rêver et ne vivre que pour son IDÉE, la juste réalité le frappera de plein fouet.  Pendant que le rêveur se noie dans ses pensées, il n’a pas IDÉE que pendant ce temps, la vie de ses proches s’est aussi figée dans le temps et, il ose croire que lorsque la vague qui a emporté ce beau rêveur pour ensuite le déposer sur le rivage, il pourra se la couler douce.  Mais c’est un tsunami dévastateur qui aura laissé son entourage dans un état lamentable.  N’ayez crainte, le rêveur est aussi un bâtisseur: il déposera son immense valise d’IDÉES sur le pas de la porte pour ne la reprendre que lorsqu’il aura appris à départager son temps en des eaux plus calmes et qu’il méditera plus souvent sur son attitude dévastatrice.

Si vous répondez OUI à au moins un énoncé, une méduse fera de vous une proie facile.

Aujourd’hui, dans le moment présent, êtes-vous envahi par une IDÉE ?

-          Vous avez oublié d’appeler votre mère de 85 ans depuis plus d’une semaine ;

-          Votre côté de lit n’est pas défait parce que vous avez dormi sur le divan du salon ;

-          Vous venez de réaliser que votre fille n’est pas revenue coucher à la maison depuis 2 jours;

-          Quand un de tes enfants te dit ‘Coup dont, tu préfères la compagnie d’inconnus à ta famille;

-          Quand des amis, connaissances ou même des inconnus vantent tes réalisations et pas les tiens;

-          Vous avez oublié que c’était votre semaine de garde pour nourrir les chats;

-          Quand vous vous mettez en boule comme un bébé hérisson et pleurez à chaudes larmes pendant 2 heures parce qu’exténué;

-          Vous répondez toujours, oui, oui tantôt, là je n’ai pas le temps;

-          Vous vous trouvez beau ou belle parce que vous avez perdu du poids et qu’on vous dit "Mais tu t’es pas vue, t’es rendue maigre";

-          Vous ne pouvez répéter ce qu’un de vos proches assis tout juste à côté de vous vient tout juste de vous raconter ;

-          Vos proches évitent de vous demander comment ça va parce que votre hamster parle à votre place;

-          Vous êtes paniqués le jour où vos amours vous disent, les yeux humides, qu’ils n’en peuvent plus, qu’ils ne vous reconnaissent plus.

Si vous vous reconnaissez, dépêchez-vous à déposer votre immense valise… NOW !

TOC, TOC, TOC le rêveur-missionnaire, réveille !

Pour alimenter votre réflexion,  la vidéo de Marilou Bourdon et Gino Quilico "Seras-tu là pour moi".

https://www.youtube.com/watch?v=fjYrMNO91js

Il est sincèrement désolé et si vous pouviez seulement imaginer à quel point le rêveur tient à vous. Il sera toujours là pour vous, c’est promis.

XXXX

Révision: Josée Goupil

Photo credit: Garuna bor-bor via Foter.com / CC BY-SA

Comment