Je me fie sur mon GPS pour me rendre à bon port, sur ma calculatrice pour les équations mêmes les plus simples, sur mon cell pour me rappeler des noms et coordonnées de mes contacts, sur Facebook pour me rappeler les fêtes de mes amis, à mon comptable pour mes chiffres et à ma coiffeuse pour décider de mon look… Suis-je la seule? Non.
Jusqu’ici, le courage était une notion pour laquelle j’avais peu d’estime. Combien de fois ai-je soupiré et roulé les yeux intérieurement quand on me qualifiait de courageuse?
Je me vois encore, assise devant la tv, à regarder ces images effroyables de ce monstre rouge avançant à vive allure et brûlant tout sur son passage. Ce feu de forêt sans précédent dévasta la municipalité de Fort McMurray.
« Monsieur Courageux est moins costaud que monsieur Costaud. Il est aussi moins grand que monsieur Grand. Mais ça ne l’empêche pas d’être courageux. Tu vas en avoir la preuve.»
En librairie, je suis toujours attirée par les livres colorés. Je sais, je sais, il ne faut pas juger un livre à sa couverture, ça ne veut rien dire. Effectivement. Mais avouez qu’une belle couverture, ça tape dans l’œil.
Tu as une idée. Elle est prodigieuse! Oui, oui, pas juste correcte, moyenne ou bonne... Extraordinaire!!! Tu es folle de joie! Tu veux te lancer. Tu y penses et tu flottes! Ça sent le bonheur, le défi, la joie!
Le printemps est une période idéale pour faire le ménage dans nos vies. Après avoir profité des beautés de l’hiver et juste avant l’arrivée de l’été, on se doit de prendre le temps afin de vider nos maisons d’objets physiques, mais aussi de faire le ménage dans nos relations.
Notre société est de plus en plus ouverte à discuter de la maladie mentale, on comprend mieux les gens qui en souffrent ou en ont souffert. On est de plus en plus nombreux à l'admettre aussi, ça aide.
Par un beau samedi matin ensoleillé, où avril s’apprêtait à tirer sa révérence pour laisser place au mois de mai, je suis tombé, en me faisant aller le pouce de bas en haut pour que défile sur l’écran de mon téléphone les actualités que l’algorithme de Facebook aura décidé de me présenter à ce moment, un article publié par un petit journal que j’apprécie beaucoup et traitant de la génération Y et son rapport aux vacances.
Depuis plusieurs milliers d’années, les hommes ont cherché à comprendre les comportements humains. Les Grecs ont développé la théorie des humeurs, divisant les gens en quatre catégories : les flegmatiques, les mélancoliques, les sanguins et les colériques. Avez-vous déjà remarqué qu’il y a des gens avec lesquels vous communiquez mieux ou supportez mieux que d’autres ?
Je n’ai pas envie de changer de vie. That’s it, that’s all man, ça ne me tente pas!
TU NE COMPRENDS PAS?
Il n'y pas d'émoticon pour le terme « faire », et encore moins pour l'expression « faire faire »!
Je vous laisse donc choisir l'expression émotionnelle qui vous rejoint le plus quand vous pensez à déléguer...
La personne qui capte et abrite une idée a conscience de cette idée qui la tiraille. Elle a alors un choix, la réaliser ou la laisser sommeiller là...dans le creux de son esprit jusqu’à ce que l’idée décide un jour de quittter cette tête passive afin d’en rejoindre un autre.
Elle a 38 ans, une belle femme célibataire, médecin en fertilité in vitro et Chef de l’unité FIV d’un hôpital moderne et réputé de sa région. Quelle particularité a-t-elle? Jana Alshalaty est saoudienne et travaille dans son pays d’origine, l’Arabie Saoudite. Rencontrons cette carriériste qui représente la génération de femmes financièrement indépendantes dans un pays où la Monarchie est menée sous la tutelle de la religion.
Je me suis réveillée ce matin et quel choc! Quelle prise de conscience! Je suis de plus en plus persuadée que je suis gentille et naïve… Je ne sais pas si c’est grave ni combien de temps je vais pouvoir survivre dans ce monde. Non, vous n’avez pas compris, JE SUIS GENTILLE… C’est atroce… C’est horrible… C’est une très grave maladie dont on ne peut pas guérir. Les symptômes sont incroyables, c’est plus fort que moi! Même après plusieurs années de thérapie et plusieurs grosses erreurs ou claque dans la « gueule » (ça fait tellement mal que je n’ai pas d’autre mot dans mon vocabulaire pour décrire l’intensité et la douleur). Ce doit être génétique et dans mon cas, ça s’aggrave avec l’expérience. Je ne contrôle rien.
Je me pose les questions suivantes : suis-je dépendante à la gentillesse (puisqu’on peut être dépendant à tout selon les psychologues)? Ai-je les connexions nerveuses de l’affirmation de soi et de l’égoïsme complètement bouchées dans mon cerveau?
C’est fou! Mais je veux aider les autres afin de leur donner de l’amour, ou peut-être bien me donner de l’amour… Va savoir... Peut-être les deux. Je ne peux passer dans le métro sans donner à des sans-abri quelques pièces de monnaie, avoir un sentiment de gêne et me demander ce qu’on peut faire dans le monde pour changer cela. Je les regarde dans les yeux et je leur dis bonjour ou au moins, je leur fais un signe de tête pour leur signifier que je les vois.
Je suis touchée quand des musiciens jouent dans le métro et je pense qu’ils devraient être payés pour la légèreté qu’ils apportent au quotidien des gens tristes qui s’en vont travailler. Dès que quelqu’un me parle d’un projet, je me mets en mode solutions et je scrute mon cerveau à la recherche d’aide que je peux apporter, une personne que je peux recommander, des heures que je peux offrir. Par exemple, des amies ont réalisé un projet de refuges, alors je les soutiens en leur faisant de la pub sur mon compte Facebook; des immigrants me sont référés pour une recherche d’emploi, je leur ouvre mon carnet d’adresses et leur propose des rencontres et des coordonnées; une connaissance souhaite effectuer un échange de maison pour le mois de juillet, immédiatement j’envoie sa demande à ma famille habitant dans la ville où elle souhaite partir. J’accepte de garder les enfants de mes amis quand ils ne peuvent pas; je propose à mes voisins de déneiger leur entrée (je le fais même parfois sans leur demander leur avis); je range les poubelles de mes voisins. J’échange quelques mots avec pratiquement tout mon voisinage…
J’ai une âme de rassembleuse, je suis née pour faire les liens sociaux: j’organise la fête des voisins, je me propose comme bénévole quand il y a des animations dans mon quartier (je passe une journée entière à trier des œufs pour une chasse aux cocos), je m’investis dans l’école de mon fils, car je trouve cela important que les parents s’impliquent dans l’éducation des enfants. Bref, je ne sais pas dire non, je trouve des opportunités dans tout… C’est plus grave que je ne le pensais finalement! Couplé à ma gentillesse, je suis curieuse… et là, c’est l’alliance sournoise pour me faire embarquer dans toutes sortes de projets.
Je suis une gentille démesurée. J’en suis consciente, c’est ça le pire, je ne peux pas changer… et vous savez quoi, je l’assume. J’aime être gentille et je pense de plus en plus que c’est une force. Comme il existe des coaches pour l’affirmation de soi et pour apprendre à dire non, je propose de partager mon expertise de la gentillesse afin de faire découvrir cette qualité en chacun de vous et ainsi accéder à son pouvoir. Qui embarque avec moi?
Révision: Josée Goupil
C'est ma vie qui déboule sur ces 398 marches. Toutes nos vies sont dans ces 398 marches. Le but: les gravir. À notre manière. À notre vitesse.
Je sais que j’ai su que je savais mais si j’avais su, je sais que j’eus su bien avant. Je saurai que j’aurai su et que je sache bien que j’aie su. Que je susse dire ou que j’eusse su qu’on me permettait de dire, je saurais que j’aurais su comment faire, juste que j’eusse su. Sache bien que j’aie su être sachant que savoir en sachant savoir-faire en ayant su comment atteindre le savoir-être.
Cela fait maintenant presque 3 ans que je suis en affaires. Pour moi, aventurière et ‘’risk-taker’’ de nature, l’étape la plus difficile n’a pas été de me lancer. Non, le plus dur pour moi est de survivre, de passer le cap, de ne pas me laisser abattre par les bas...car des bas, il y en a et il y en aura toujours.
Je le dis d’emblée, j’ai adoré Naufrage, le plus récent roman de Biz du groupe Loco Locass. Ç’a été une lecture prenante, surprenante et troublante. Une superbe découverte littéraire que je recommande chaudement.