Les pensées décoiffées et les cheveux mêlées, j'ai les genoux pliés, mais le dos droit. Dans la tempête, je reste fière.
Je n’ai jamais été aussi certaine de ma place dans ce monde et de l’impact que je souhaite avoir. Je vais davantage propager l’amour, la paix, la bienveillance et le vivre ensemble!
Aller à contre-courant, observer les phénomènes paradoxaux, vivre avec une curiosité qui permet d’observer les détails qui font la différence, voilà comment s’exprime ma valeur d’originalité.
J’ai toujours aimé lire des livres qui me font rire. Ça m’arrive souvent de m’acheter des livres en ayant cet unique objectif en tête. Non, je n’ai pas toujours envie de réfléchir à l’avenir de l’univers ou de me poser mille et une questions existentielles. Parfois, j’ai juste besoin d’un bon divertissement.
Allô, moi c’est Morgane, une française un peu québécoise d’adoption, j’ai mis les voiles fin octobre pour aller à la rencontre d’ambassadeurs du changement dans plusieurs pays. C’est un voyage entrepreneurial mais c’est aussi un voyage initiatique pour aller au bout de moi et GRANDIR.
Femme immigrante flamboyante, passionnée et hyper engagée, Caroline m’a impressionnée non pas par son parcours professionnel, mais par sa spontanéité, par son courage et par-dessus tout, par ses yeux brillants d’intelligence et son rire fougueux. Oui, nous pouvons être impressionnés par un rire!
Présenter la femme dans son plus simple appareil pour l’amour de l’art. Ce défi d’envergure initié par Frédérique Marseille et Émilie Mercier devient progressivement au centre des intérêts de la scène artistique montréalaise.
Nous ne sommes pas toutes des marathoniennes. Nous ne sommes pas toutes entraînées à vivre à 200 à l’heure. À force de vouloir tout réussir et concilier vie de famille, vie professionnelle, vie associative... nous n’avons plus le temps de rien. À force de vouloir être au « top » partout et tout le temps, on finit par manquer d’énergie.
En fait, j’espère toujours le calme, le bonheur, la légèreté, le plaisir, mais je ne peux y rester longtemps sans me replonger dans le stress.
D’ailleurs, j’ai peur quand les choses vont trop bien. Je deviens nerveuse.
Il était une fois un petit trésor...
Un petit ange nommé Allyson vit le jour au printemps 2016
Sa maman Karolyne et son papa Thierry posèrent spontanément des yeux émerveillés sur elle
Accourut rapidement l'impatiente ribambelle de parents et amis, tout aussi admiratifs et émus
Elle vit si bien le jour que même après deux mois elle croyait que le jour durait toujours et la nuit... demeurait un concept abstrait...
Mais ça, c'est une autre histoire !
L’autre jour, mon contrat de travail d’un an a pris fin. Durant les derniers mois, j’ai eu quelques entrevues qui n’ont, malheureusement, pas donné les résultats escomptés. Fait que, quand je suis tombée sur le livre Le pouvoir de l’échec d’Arnaud Granata, disons que ça m’a un peu interpelée.
Les enfants ne vous jugent pas. Contrairement aux adultes, plus vous êtes fou, plus ils vous aiment. Parce que pour eux, l’imagination est un jeu. Tout est possible. Ils n’analysent pas si c’est possible ou non. Fuck off si c’est pas vrai! On a du fun, non?
Comme toute belle histoire, il y a une suite et celle-ci est maintenant écrite par une génération dont les représentants ont eu accès à tout et cherchent maintenant un essentiel, un essentiel qui se rapprocherait de l’essence de l’être plus que de celui d’avoir. C’est l’inévitable loi que notre très cher Maslow a énoncée dans sa pyramide.
Il y a des rencontres qui marquent une vie. Des rencontres qu’on ose à peine rêver tellement elles sont immenses de sens et de portée.
Mais lorsque tout est fini, que notre porte-feuille ne s'enorgueillit plus de nos cartes d'affaires, il y a un deuil à faire.
Associée responsable du secteur des marques de commerce de la firme d’avocats d’affaires BCF s.e.n.c.r.l., maman de deux enfants, récemment grand-maman, fashionista, amateure de scotch, Johanne Auger est sans aucun doute une femme qui inspire et qui laisse sa marque, si je peux me permettre le jeu de mots!
Ces temps-ci, je vois au moins une fois par semaine un message du type « pour échouer, il s’agit simplement d’abandonner avant d’avoir réussi », « la dernière clé est celle qui ouvre la porte » ou carrément « ce qui différencie le 3 % du 97 % est la persévérance » ou un truc du genre. Tous les jours, on nous martèle que seuls les looser abandonnent.
Et bien, je vais vous dire quelque chose. J’en ai marre de cette bullshit. Tout ça, c’est faux. En fait, la plupart des gens que je connais qui ont vraiment « réussi » (soit financièrement, soit au niveau du bonheur, ou les deux) ont dû abandonner quelque chose dans leur vie.
La rentrée est déjà bien amorcée et tu es déjà écœurée de ta vie. La routine te prend en otage avec ses mêmes routes encombrées, collègues ternes, couloirs gris, horaires établis.
Je suis ton #idole, #mentor, #modèle, #amie.
Je me souviens encore que lorsque j’étais dans mon 9 à 5, j’en avais marre! Ça m'a tellement déçu qu’après toutes ces années à étudier et à être convaincue que j’étais sur la bonne voie, que je puisse être si malheureuse et si épuisée!